Rien n'échappe à l'oeil de lynx des scientistes,

Rien n'échappe à l'oeil de lynx des scientistes, qui achèvent en Australie une étude des positions idéales qu'une femme devrait adopter pour... faire pipi! NON MAIS  il faut dire qu'au chapitre des études idiotes il convient de faire une belle place à celle réalisée, dit-on, par l'armée américaine au coût de 300,000$, et indiquant que ce n'était  pas une très bonne idée pour leurs soldates de se soulager debout, surtout si elles portent le pantalon (N'en déplaise aux fabricants de plusieurs machintrucs qui prétendent le contraire).

Il ne reste donc en lice que la position assise de la plupart des femmes occidentales, contre la position accroupie préférée dans le tiers-monde. Les savants Australiens n'ont rien négligé, mesurant la vitesse d'évacuation (vitesse moyenne, vitesse maximale, et même l'accélération, oui madame, on croirait avoir affaire aux ingénieurs de Ferrari). Soit dit en passant: non, nous ne savons pas comment ils (ou elles) s'y sont pris... et à vrai dire, nous ne voulons pas le savoir, non plus.  

Et de votre côté, vous avez sans doute peine à retenir votre envie... de connaître les résultats. Hébin, il semble nettement que la position assise ne serait qu'un... euh... pis-aller? et il serait plus efficace d'accroupisser (si vous nous passez l'expression), à condition toutefois que madame parvienne à conserver son équilibre aussi longtemps que nécessaire, ce qui n'est hélas pas donné à toutes les occidentales. Bref, quelque 500,000$ plus tard, la prudence urinaire milite en faveur du statu quo (expression composée des mots latins "Statu", qui signifie "Est-ce que c'était" et "quo" qui signifie "nécessaire de faire une recherche pour trouver ça?")