In-site-ation au stupre
À Montréal, la très britiche université McGill (qui résiste vaillamment mais ne peut quand même pas se soustraire totalement à l'influence décrispée des francophones) vient de fermer péremptoirement le site web d'un de ses professeurs. Le malheureux y avait repris des photos publiées par le magazine "Playboy", montrant quelques étudiantes de diverses universités qui avaient posé nues (les étudiantes, pas les universités).
Or Playboy a servi à McGill un cadeau empoisonné en la classant parmi ses "10 meilleures universités en Amérique... pour les sauteries!" NON MAIS vous pouvez imaginer les cabrioles et autres sauts de joie qu'ont dû exécuter le rectum, le chancelant et tous les autres augustes personnages de cette fontaine de savoir.
Suite à quoi McGill s'est empressée d'apporter sa contribution à la moralité publique en fermant le site web, contribution non-négligeable, puisque ces photos n'auront été vues que par 9,000,000 de personnes (oups, pardon, il faudrait inclure les lecteurs du site disparu: bon alors disons à peu près 9,000,075).