11 août 2010
Il faut avoir l’essence des affaires
Shell prétend qu’elle avait un acheteur pour sa raffinerie de Montréal, mais que ce dernier ne lui a jamais présenté d’offre finale. Vous allez me dire que si vous aviez quelques centaines de millions en perspective, vous iriez la chercher à quatre pattes s’il le faut, cette offre. NON MAIS vous n’avez rien compris. Pour une pétrolière qui exprime ses états financiers en milliards, moins de 500 millions, c'est arrondi à zéro.
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