9 septembre 2012
Faut pas que les vilaines forestières exploitent les péons québécois
Les marchés internationaux, de plus en plus harcelés par les écocos, sont carrément en train de capoter. Il paraît en effet qu'ils se mettent maintenant à exiger des canadiens une certification de provenance du bois, qu’il soit brut ou sous forme de meubles. NON MAIS tout ce tralala parce qu’apparemment ils veulent du mobilier «équitable». Sans doute aussi équichaise, équibahut...
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